Infections et Métaux lourds

Infections et métaux lourds

Il existe un effet synergétique entre les pathogènes (virus, bactéries, parasites etc…) et la présence des métaux lourds toxiques dans le corps. Par exemple on trouve souvent associés, dans les cas de:

  • Sclérose en plaque : herpès de type 6, cytomégalovirus (CMV), maladie de Lyme (Borrelia B), + Mercure (Hg)
    Arthrite rhumatoïde : mycoplasme (plusieurs types), chlamydia, maladie de Lyme
  • Diabète : CMV
  • Paralysie de Bell : herpès (plusieurs types), maladie de Lyme
  • Maladie des artères coronaires : Hélicobacter pylori, CMV, pathogènes dentaires
  • Sclérose Latérale Amyotrophique (ALS) : CMV + Mercure
  • Parkinson : CMV + mercure dans le noyau caudé, peu de dopamine, peu de tyrosine
  • Alzheimer : virus, bactéries, mycoplasmes + Mercure (Hg) +Aluminium (Al)

Les méthodes thérapeutiques employées dans notre cabinet offrent une réponse efficace à long terme : à la fois au niveau de l’intoxication par les métaux lourds, de celui des infections chroniques ainsi que sur le plan émotionnel.

Information générale

MALADIES INFECTIEUSES : LA SITUATION ACTUELLE DANS LE MONDE

Les maladies infectieuses sont provoquées par des virus, des bactéries, des parasites ou des champignons. Elles sont responsables de 14 millions de décès chaque année, partout dans le monde.

Les pays industrialisés ne sont pas à l’abri de la menace microbienne. On observe en effet une nette émergence et ré-émergence des maladies infectieuses dans ces pays : leur incidence dans les pays occidentaux a augmenté de 10 à 20% ces quinze dernières années. La coqueluche, par exemple, est en pleine résurgence en France comme aux Etas-Unis.

Les maladies les plus meurtrières:

Six groupes de maladies qui représentent à elles seules 90% des décès par infection dans le monde :

  • Sida: 3,1 millions de décès en 2004
  • Maladies respiratoires aiguës: bactériennes (pneumocoques) et virales (grippe, virus respiratoire syncitial) 3 millions de décès par an
  • Maladies diarrhéiques : (rotavirus, shigellose, Escherichia coli pathogènes, choléra, fièvre typhoïde) 2,5 millions de décès par an
  • Tuberculose : Près de 2 millions de décès par an et 8 à 80% des cas, selon les pays, liés à l’épidémie de Sida.
  • Paludisme : plus d’1 million de décès par an et 300 à 500 millions cas cliniques annuels
  • Rougeole : 750 000 décès par an.

Il faut de plus tenir compte de la mortalité imputée à certains cancers, une réalité souvent ignorée : au moins 15% des cancers sont d’origine infectieuse…

Les cancers d’origine infectieuse
  • Chaque année, 1,5 millions de décès dus à des cancers pourraient être évités si certaines infections étaient prévenues, diagnostiquées et traitées. Sept agents infectieux, six types de virus et une bactérie, sont en effet à l’origine de cancers, selon le Centre international de recherche sur le cancer.
  • Les virus des hépatites B et C provoquent des infections chroniques chez un certain pourcentage de personnes infectées, infections pouvant évoluer en quelques années en cancer du foie*. Le risque de développer un cancer du foie suite à une infection chronique par ces virus est de 3 à 5%. Il existe 350 millions de porteurs chroniques de l’HBV dans le monde, et 3% de la population mondiale serait infectée par l’HCV.
  • Des infections persistantes par certains « papillomavirus« * humains provoquent des cancers du col de l’utérus, deuxième cause de mortalité par cancer dans le monde chez la femme, et responsables d’environ 230 000 décès et 500 000 nouveaux cas par an.
  • Le virus EBV (Epstein-Barr Virus), présent chez de nombreux individus et souvent silencieux, est associé à des cancers du naso-pharynx ou à des lymphomes non hodgkiniens.
  • Le virus HTLV*, premier rétrovirus a avoir été découvert, est associé à des leucémies et lymphomes. Quinze à vingt millions de personnes sont infectées par ce virus à travers le monde, seul un faible pourcentage ayant un risque de cancer suite à l’infection. Les foyers majeurs d’infection endémique à HTLV-I sont localisés au sud-ouest du Japon, dans les Caraïbes, en Amérique Latine et en Afrique tropicale.
  • Le virus HHV8 quant à lui est associé au sarcome de Kaposi*, un cancer de la peau rendu tristement célèbre par l’épidémie de VIH/sida. S’il existe sous une forme épidémique chez les patients touchés par le VIH/sida, il existe également sous une forme endémique, indépendante de l’infection par le VIH, dans la région des Grands Lacs en Afrique de l’Est.
  • Les infections chroniques dues à bactérie Helicobacter pylori peuvent évoluer en cancers et lymphomes de l’estomac *. Cette bactérie infecte 50% de la population mondiale, mais seul 1% des patients touchés par une infection chronique sont à risque de cancer.
LES MALADIES INFECTIEUSES EN FRANCE

Hépatite C : on estime que 780 000 personnes sont infectées, dont 44% l’ignorent ; 10 à 15% des personnes chroniquement infectées par le virus de l’hépatite C (VHC) développeront une cirrhose hépatique dans les 20 premières années de leur infection, avec un risque ultérieur de cancer du foie de 3 à 5% par an. Le VHC se transmet essentiellement par voie sanguine.

Grippe : le nombre de cas annuels est variable selon les saisons. L’hiver 1999-2000, une épidémie intense a entraîné 8,8 millions de cas ; l’hiver 2003-2004, la grippe a touché 2,9 millions de personnes en France en 10 mois d’après le Groupe d’Etudes et d’Intervention dur la Grippe (GEIG). En moyenne, on estime à environ 1500 à 2000 le nombre de décès par an (source : CNR* de la Grippe France-Nord, Institut Pasteur).

Hépatite B : 300 000 personnes seraient des « porteurs chroniques » du virus en France : 49% ne connaissent pas leur statut. L’hépatite B est considérée comme une maladie infectieuse extrêmement contagieuse : le virus de l’hépatite B est 50 à 100 fois plus infectieux que celui du SIDA. Il se transmet par voie sanguine et par contact sexuel.

Sida : 30 000 personnes vivaient avec le sida en 2003 en France, où l’on estime à 100 000 le nombre de séropositifs, et où 6000 nouvelles contaminations sont recensées chaque année. Une personne sur deux avec un diagnostic de sida en 2004 ignorait sa séropositivité. Par ailleurs, 30% des séropositifs pour le VIH sont également atteints par une ou plusieurs hépatites (B ou C).

Tuberculose : environ 6300 nouveaux cas par an et 700 décès. L’Ile-de-France compte 3 à 4 fois plus de cas que la moyenne nationale, et Paris intra-muros 5 à 6 fois plus.

Coqueluche : plus de 500 personnes pour 100 000 habitants pourraient être actuellement infectées, soit environ 300 000 personnes (source : CNR de la Coqueluche, Institut Pasteur).

Infections nosocomiales : 7% des personnes hospitalisées contractent une infection dans l’établissement où elles sont soignées. Le nombre de décès attribuables chaque année en France à ces infections a été récemment estimé à environ 4200. Les germes du genre staphylocoque sont prédominants parmi les pathogènes isolés. La bactérie E. coli est également très fréquemment retrouvée.

Infections d’origine alimentaire : 250 000 infections transmises par l’alimentation chaque année en France, dues à des bactéries, des virus ou des parasites (comme Toxoplasma gondii). Les salmonelloses, gastro-entérites d’origine bactérienne, sont au premier rang des infections alimentaires : en nombre de cas (entre 30 600 et 41 000 cas par an), d’hospitalisations (5600 à 10 200 par an) et de décès (90 à 530). La deuxième cause de décès par infection alimentaire, également provoquée par une bactérie, est due à la listériose (300 hospitalisations et 80 décès par an).

Méningites bactériennes : plus de 700 infections à méningocoques chaque année en France, dont 10 à 15% mortelles suite à une infection invasive (méningite ou septicémie).

Paludisme (cas importés) : le CNR* des Maladies d’Importation estime à 7000 le nombre annuels de cas de paludisme d’importation en France dont 15 à 20 décès.

Dengue (cas importés) : C’est la deuxième cause d’états fébriles chez les français au retour de voyage. L’extension de l’endémie mondiale et la survenue de fréquentes épidémies dans des régions tropicales où se rendent de plus en plus de voyageurs tendent à faire augmenter l’impact de cette maladie d’importation en France. On y recense plus d’une centaine de cas par an (probablement très sous-estimé) chez des voyageurs en provenance des Caraïbes (Antilles, Cuba), du Brésil et d’Asie principalement (source* : Centre National de Référence pour les Fièvres Hémorragiques Virales, Institut Pasteur, Lyon). Le risque moyen pour un voyageur de contracter la dengue dans une zone endémique est de 1 pour 1000.

CNR : Centre National de Référence

Métaux lourds toxiques Genève